« Aucun paradoxe de la politique contemporaine ne dégage une ironie plus poignante que ce fossé entre les efforts des idéalistes bien intentionnés, qui s'entêtent à considérer comme ''inaliénables'' ces droits humains dont ne jouissent que les citoyens des pays les plus prospères et les plus civilisés, et la situation des sans-droits »
(Hannah Arendt, Les Origines du totalitarisme. L’impérialisme, éd. Seuil-coll. « points essais », 2002 [1948 pour l'édition originale], p. 270).
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